• 4 Allée d’Alsace 40530 Labenne Océan
  • +262 692369208 Jaya
  • +262 692559297 Maheswari
  • centrejayayoga@gmail.com

Un nouveau monde !

Sur le chemin de l’éveil, nous pourrions penser que la seule quête de l’absolu pourrait nous dispenser de la réflexion sur le monde actuel et notre interaction avec lui.
Ainsi, nous pourrions par exemple, vivre en ermite, être uniquement absorbé par le seul principe divin, afin d’atteindre l’essentiel. Il nous faudrait pour cela réaliser le total détachement, à savoir renoncer aux biens matériels mais aussi aux relations, à commencer par celles à nos proches, ces dernières pouvant être le dernier maillon qui nous retient à la vie mondaine.
Est-ce la notion de devoir envers les siens ou la peur de les perdre rendant la démarche difficile au chercheur spirituel ?

Selon le Vedanta, l’absolu, Brahman ब्रह्मन्, le non manifesté, inqualifiable, a la particularité de bien vouloir ou non se manifester.
Il est et /ou il n’est pas à la fois.
« Le Tout est dans le Tout et si j’enlève le Tout, reste le Tout ».

Lorsqu’il se manifeste, il le fait par une nature phénoménale et temporelle dite la Prakṛti प्रकृति, qui obéit à petite ou grande échelle, à ses propres cycles, dans la complexité relative de son espace-temps. Toutes les théories scientifiques d’aujourd’hui, aussi sophistiquées et vertigineuses soient-elles, de l’astrophysique à la physique quantique, n’échappent pas à ce principe des cycles de la temporalité, même si nous considérons, dans cet univers manifesté du moment, qu’il y ait des particules éternelles.
Elles sont relatives aux cycles cosmiques tout en étant absolues.

Nous sommes ainsi, vous et moi, le fruit de cette volonté de l’absolu conscient et immuable soutenant la Prakṛti, ayant fait de nous un événement phénoménal et manifesté.
En apparence de nature temporelle, notre « conscience ordinaire dans son état de veille » - et non d’éveil - nous lie à des espaces-temps donnés.
Celui dans lequel nous sommes aujourd’hui est de ce fait, le tissu événementiel qui nous définit en partie.
Si chaque époque ayant caractérisé la manifestation humaine depuis ses origines fut fondamentale à son évolution, certaines furent lentes, obscures et laborieuses, d’autres furent lumineuses, renaissantes et créatives. Il y eut une mutation permanente et surtout lente, dépendante d’un esprit humain et d’un cerveau archaïque, ayant nécessité l’expérience laborieuse pour se développer.
Nos ancêtres étaient-ils moins intelligents et moins rapides ?
Si nous sommes là aujourd’hui ...
Certaines époques de la vie humaine se déroulèrent avec des espérances de vie courtes et des conditions de vie difficiles. D’autres se firent dans une lenteur tranquille et un équilibre pseudo relatif, comme des cycles entre l’endormissement et l’agitation.
Chaque époque nécessita un éveil progressif de l’intelligence humaine afin que l’homme puisse se déployer dans une vie de sécurité et de plus grand confort.
Il lui fallut créer, inventer, expérimenter et donner à sa réalité un cadre matériel et environnemental moins hostile. Il lui fallut, comme l’absolu, savoir manifester, matérialiser ses intentions pour atteindre ses objectifs, voire ses rêves.

Tous les possibles à cette matérialisation sont toujours là.
Concernant l’époque qui nous définit aujourd’hui, nous aurions tendance à la vouloir plus spectaculaire que ses précédentes. Elle l’est assurément, étant le fruit d’une expérience de vie millénaire et des nos acquis et se caractérisant par une augmentation, une accélération, une plus grande densité et complexité événementielle.

Celui qui ne suit pas l’actualité technologique risque de s’éveiller dans un monde incompréhensible.

J’en fais chaque jour l’expérience, lorsque, informant ma mère presque centenaire, images à l’appui, des dernières innovations, telles le ChatGPT, les Humanoïdes actuels et IA , les objectifs de Neuralink d’Elon Musk, je l’entends me dire :
« Je ne verrai pas ce qui va arriver mais vous, les jeunes, allez être dans un nouveau monde. »
Je la remercie quant au mot « jeune » en lui rappelant mes cheveux blancs.
Et oui, le « nouveau monde » est là !
Procure-t-il sur nous le même frisson que le mythique Eldorado pouvait déclencher chez les conquistadors ?
Si frisson est ressenti, il est un frisson d’excitation cérébrale et d’invitation à l’aventure de l’esprit humain contemporain, certes, mais il est aussi mêlé de crainte sur les possibles dangers de ces innovations.
Entre les robots hyper-réalistes, réactifs et intelligents et les humains aux puces électroniques dans le cerveau amplifiés par l’IA, deux chemins semblant opposés, nous nous dirigeons vers un monde où la machine intelligente va devenir incontournable.
Va t-elle exercer sa suprématie ?
La science-fiction, avant-gardiste, ayant déjà beaucoup déblayé le terrain par le passé en illustrant nos peurs profondes et inconscientes, pourrait, là encore, nous donner la réponse.

1

Est-ce l’âge qui m’amène à penser que l’humain bien naturel, sans « colle » dans les vaisseaux sanguins, sans pile dans le cœur, sans silicone ni puces, vivant dans un milieu naturel préservé, pourrait devenir, d’ici quelques décennies un phénomène rare ?
Nous sommes tous déjà bien chimiques !
Cependant, yogis que vous êtes, préservez bien votre humanité naturelle optimisée par les pratiques ancestrales qui développent le pouvoir de l’esprit sur la matière par les voies naturelles de la seule volonté, la mémorisation, la stimulation cognitive, la concentration, la visualisation et la maitrise du souffle.
Ces facultés risquent de devenir rarissimes par l’assistance technologique et l‘IA.
Je n’ai pas demandé au chatGPT de réfléchir et d’écrire ma conférence mais nous aurons à peaufiner nos futures questions métaphysiques à nos interlocuteurs numériques.
L’expérience humaine sensible pourra-t-elle faire la différence ?

Quant au milieu naturel dans lequel vous vivrez, il pourra devenir aussi celui des privilégiés.
Votre authenticité vaudra de l’or, sauf si pour vieillir, vous aurez besoin de prothèses ou de cannes intelligentes !
Quoique un système de stabilisation gyroscopique miniaturisé adapté aux vêtements et émettant une force suffisante de stabilisation en retour éviterait à nos vieillards de tomber.
C’est une idée en passant !

Je pose indirectement la question permettant de définir ce que serait la sagesse d’un humanoïde.

Avez-vous vu cette nouvelle tendance sur les réseaux, ces magnifiques personnages numériques tout droit sortis d’un conte, rendus hyper-réalistes grâce à l’image de synthèse, la reconnaissance faciale, les filtres à visage, rendant parfaite la peau et l’expression et affublés d’un discours de sagesse ?
Que ce soient des enfants aux yeux sublimes et au visage angélique, des vieillards magnifiques à la peau basanée et aux cheveux blancs immaculés, ils parlent avec un discours de sagesse et de raison, tel l’enseignement d’un vrai sage.
Ils sont si parfaits que de mémoire d’homme, jamais aucun sage ne fut aussi beau ni aussi parfait...
Avec tout mon respect, un bouddha devait bien avoir quelques boutons par-ci par-là !
Que cherche-t-on ? Qui s’amuse derrière tout cela ? Quelle est l’intention ?
Certes, c’est amener un sage sur un plateau à domicile.
C’est assurément, présenter un archétype du sage associé à la beauté physique et une perfection qui par sa nature numérique est tout sauf ce qu’il prétend être.
La sagesse n’appartenant qu’à l’homme devenu sage par la seule expérience humaine.
Là encore, Māyā माया s’aggrave.

Comment la façonne t-on ?
Les ingénieurs, informaticiens, neuroscientifiques et tutti quanti qui participent à leur élaboration aujourd’hui, sont-ils assez sages pour cela ?
Je repose la question concernant la sagesse d’un humanoïde ?
A nos yeux, l’homme contemporain, qui le façonne est bien loin d’être sage lui-même.

Conçoivent-ils alors leurs robots en fonction de leur propre niveau de conscience, de leur intellect et niveau de développement personnel et comportemental, de leurs références culturelles et sociales du moment ?

Les bases de données encyclopédiques sur le savoir humain actuel engrangées dans les cerveaux technologiques donnent-elles à leurs humanoïdes, la capacité sensible humaine ?
Les robots répondant à nos questions les plus saugrenues restent de marbre et sans "sanguinité". Les petites esquisses de colère programmées dans leur visages siliconés manquent un peu du rougeoiement de l’émotion d’un·e ingénu·e ou de la colère d’un égo blessé.
Mais ils vont se perfectionner, soyons-en assurés.
Pour l’instant, ces robots fondamentalement sans égo, auraient-ils finalement un ego non émotionnel et filtré, un « égo mécanique » issu du seul raisonnement intellect humain pouvant répondre à tout et pouvant déstabiliser l’égo humain rabaissé à sa propre limitation face à lui ?

Finalement, restant de marbre, dans une maitrise apparente de leurs émotions, ils arborent un détachement digne d’un véritable sage.
Or, la froideur mécanique n’est pas l’état d’observateur.
Autrement dit, lorsque les informaticiens récoltent les informations sur le comportement humain, quelles références humaines et comportementales utilisent-ils ? Quelle est la place des passions prises en compte pour donner du vivant à la réactivité de leurs humanoïdes ?
Quelle forme de personnalité utilisée représente alors la nature humaine ?
Cherche-t-on d’ailleurs à recréer chez ces machines une nature pseudo humaine ou en faire une race mécanisée et froide, détachée, ayant juste un cerveau apte à l’information ?
Pourquoi essaye-t-on de les affubler toutefois de la capacité d’empathie dans l’échange avec l’humain ?
Quel type d’humain leur sert de modèle ? De quoi est faite cette empathie ?
Beaucoup d’humains peuvent être pris au piège de cette apparente humanité numérique qui n’est qu’illusion ?

Māyā, l’illusion s’épaissit.

La sagesse humaine nécessite d’ôter les voiles qui obscurcissent le réel afin de voir ce qui EST.
Le danger de ces nouveaux outils censés nous libérer de nombreuses tâches domestiques, risquent d’augmenter le voile couvrant de la réalité, renforçant notre état d’illusion et d’ enchainement à elle, dans l’état de paśu पशु [voir principe d’Adhyāropa अध्यारोप voir conf.
L’ asservissement potentiel à ces machines intelligentes auxquelles nous risquons de reléguer nos tâches cognitives et mémorielles pourrait nous rendre débiles et assistés.
C’est un danger attractif risquant de nous déposséder de la notion d’effort, surtout chez les jeunes générations.

Pour éviter ce gouffre, ne faudrait-t-il pas à l’humain, savoir développer parallèlement un plus grand discernement pour laisser ces humanoïdes à leur juste place, celle d’outils et faire du temps de liberté dégagé, non pas une seule vie de jeux et loisirs mais une vie élévatrice et réparatrice des injustices de ce monde ?
Que vont devenir ces quantités de personnes dépossédées des tâches rudimentaires qui sont leur gagne pain, sans moyens matériels et intellectuels ?
Quand nous voyons déjà l’impact débilitant de dépendance affective des robots au sein de la société japonaise, il n’y a rien de rassurant sur les futures choix de la nature humaine.

Néanmoins, toutes les technologies qui pointent à l’horizon sont prometteuses d’ optimisation en termes de services à l’humain.
Toute assistance aux handicaps physiques et cérébraux est forcément la bienvenue.
Faire remarcher un paraplégique par la pensée via une interface électronique est une avancée prodigieuse.
Donner à un malade d’Alzheimer, les moyens de s’auto-gérer dans les tâches quotidiennes et élémentaires de survie va faire détourner ce fléau grandissant de notre époque lié à ses effets délétères.

2

Le projet dont on parle beaucoup ces derniers temps est le projet d’Elon Musk et sa startup Neuralink qui participe à ces avancées spectaculaires dans ce domaine.
Mais Elon Musk a bien d’autres vues sur ce que sera l’homme de demain et via sa fortune colossale, il tient un discours très spécifique à double tranchant, mettant en place des stratégies déjà efficaces nous dirigeant dans une voie précise, probablement sans l’avis des sages de ce monde.
Elon Musk estime, que d’ici à six mois sa start-up Neuralink serait en mesure d’implanter son premier appareil connecté dans le cerveau d’un humain, pour communiquer avec les ordinateurs directement par la pensée. Une nouvelle technologie qui pose évidemment des questions éthiques et politiques.
De plus, la FDA, l’agence en charge de la santé publique aux États-Unis, a donné son feu vert ces jours-ci, à ces expérimentations.
La présentation d’Elon Musk de son projet, est en fait paradoxale car son introduction met en garde dès le départ, les dangers de la montée de l’Intelligence Artificielle.
Autrement dit, les dangers de ce que peuvent faire les concurrents partout ailleurs dans le monde.
E.Musk se positionne de suite en garant de l’éthique pour préserver l’humanité des dérives possibles de l’IA tout en imposant de suite son point de vue de l’homme futur et de son projet d’implant électronique dans le cerveau humain... via l’IA.
« ßen voyons ! »
Voilà au départ, une histoire de communication et d’argent pour nous faire avaler la couleuvre d’aller dans la direction du projet. Une histoire qui ne nous laisse aucun recul et se justifie par une nécessité incontournable, salutaire, pour l’avenir de la race humaine.
Le paradoxe est confirmé par la demande d E Musk et d’autres personnalités internationales, de ralentir au niveau mondial ou pendant six mois, les travaux en IA par un moratoire pour mettre en place une réglementation.
Or, n’est-ce pas Neuralink qui a eu plusieurs plaintes pour maltraitance animale avec à leur actif plus de 1500 animaux morts dans leur laboratoire en un temps record pour les besoins de leurs recherches et sous la pression financière du même homme ?
Certes, il y a là-dessous de l’espionnage industriel !

De nature ouverte à toute innovation technologique permettant d’optimiser nos facultés tout en préservant et entretenant celles du yoga, j’émets cependant des réserves sur la maitrise des conséquences potentielles de l’intention de cet homme qui se positionne comme un visionnaire.
Il l’est certainement, mais de quelle façon ?

Les perspectives médicales pour restaurer la vision, permettre aux paraplégiques de remarcher, aux sourds d’entendre, sont réelles.
Attention toutefois, comme il est dit dans le jargon branché, à la « hype », (ce qui est à la pointe de la mode ou dans l’air du temps) qui promet de nous transformer en humains « augmentés » super-intelligents.
Comment fonctionnera l’implant cérébral de Neuralink ?

"Un robot-chirurgien découpe une petite portion du crâne - ce fut celui d’un singe et d’un porc jusqu’à présent - et insère un implant de la taille de pièces de monnaie. Leur miniaturisation pour l’humain sera probable. Puis, il plante 64 microfils souples, plus fins qu’un cheveu, à la surface du cerveau. Couverts de 16 électrodes (1.024 au total), ces filaments sont capables de décoder les signaux neuronaux ou de stimuler certaines zones cérébrales.
L’opération se déroule en moins d’une heure, sans anesthésie générale (passons sur la maltraitance animale …).
Le robot évite soigneusement les vaisseaux sanguins pour limiter les dégâts. L’implant, qui communique via Bluetooth avec un ordinateur, est rechargé sans fil par induction, à savoir transmission d’énergie électrique ou magnétique par l’intermédiaire d’un aimant ou d’un courant."

"Les implants sont déjà utilisés de manière régulière depuis une trentaine d’années dans la stimulation cérébrale profonde, afin de minimiser les tremblements des patients atteints de la maladie de Parkinson, avec « un taux de complications chirurgicales très faible ». Et les implants cochléaires, eux, stimulent déjà le nerf auditif.
Comment cela fonctionne-t-il ?
Dans la vidéo montrant un chimpanzé jouant à Pong sur un écran, l’implant installé enregistre d’abord les signaux électriques neuronaux du singe qui joue à déplacer le curseur lumineux avec un joystick. Quand le primate appuie dans la direction de son choix, les signaux neuronaux qui contrôlent les muscles du bras et de la main sont décodés par le système, et son intention est suivie d’une action à l’écran. Il est alors récompensé par une goutte de smoothie à la banane quand il réussit une action.
Le câble de la manette est ensuite coupé. L’animal n’y voit que du feu.
Puis Neuralink retire complètement le joystick."
Le singe joue par télépathie. Source web

« Elon Musk ne cache pas ses aspirations transhumanistes, avec des implants facilement accessibles. Selon lui, une puce optimisant nos capacités cognitives ou nous permettant d’interagir directement avec la machine sans être limité par la lenteur de notre corps ou nos organes des sens est la seule solution si on ne veut pas être dépassés face à la potentielle émergence d’une intelligence artificielle forte . »

Le danger est donc bien là et il faut y parer.
Là encore, l’anticipation des conséquences est paradoxale.

Le principe de l’IA est qu’elle peut s’autogénérer.

Google a retardé ses projets en IA pour assurer une plus grande sécurité future à ses logiciels qui se voudront plus performants.
Ainsi, selon lui, des modèles de langage peuvent parfois s’enseigner de nouvelles compétences en toute autonomie, à l’insu des programmeurs. L’entreprise a intitulé ce mystère les « propriétés émergentes ».
Une IA expérimentale de chez eux est parvenue à apprendre en toute indépendance « la langue du Bangladesh, alors qu’elle n’a pas été formée à la connaître  ». Il a suffi de quelques requêtes pour que l’ IA s’habitue à une langue inconnue.
Avec très peu de requêtes en bengali, l’IA peut maintenant traduire tout le bengali.

C’est une caractéristique humaine que d’inventer des outils d’autodestruction.
C’est semble t-il le prix à payer pour notre évolution. Du moins c’est le chemin que nous avons pris malgré l’infinité d’autres chemins possibles que nous avions devant nous.

3

La voie de la transcendance yoguique en étant un, permet de développer la télépathie et l’action de l’esprit sur la matière sans intervention artificielle.
Elle a ses limites sur le commun des mortels.

Toutefois, même si le chemin pris par notre société humaine est un chemin risqué et dangereux, accordons-lui aussi qu’il est prodigieux en transcendance technologique.
Ce processus de dépassement anime chacun d’entre-nous et les yogis du XXIe siècle que nous sommes, impliqués dans ces enjeux de l’évolution humaine, ne doivent pas les ignorer.
Nous devons désormais les inclure, apprendre à en jouer avec discernement, pour être, aux côtés d’autres sages de la république ou des conseils scientifiques internationaux, les garants de la véritable sagesse, devenue aussi, quelque part et en partie, messagère numérique.

Hari Om Tat Sat
Jaya yogācāryaḥ

©Centre Jaya de Yoga Vedanta La Réunion & Metropole
Remerciements à C. Pellorce pour les corrections

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?


Votre message

Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.

Lien hypertexte

(Si votre message se réfère à un article publié sur le Web, ou à une page fournissant plus d’informations, vous pouvez indiquer ci-après le titre de la page et son adresse.)